Nos ombres parlent aux banc
esseulés
Bancs de nuages, bans de
mariages
Bandes de poissons
Gobant les heures pressées
Avec l'entaille du rêve
Qui dégorge
Bancal, Assis sur le banc sage
Bandes de cons
Incapables de déprogrammer
l'heure du labeur, l'heure du sourire
l'heure du loisir, l'heure bandée
Bancarisation
Banco au grattage
De la paille dans les doigts
Banchage, coule du béton
Boîte de souvenirs, la vie rangée d'éclats
Ranger, Ronger, Rendre
Branchage, les poètes
sont partis au bois
Banc calme
chercher du doigt
la lune sauvage
la vie rendue d'éclats
Détachement, plus de son
Abandon, la bouche en gestation
A côté le besoin de programmer la vie
Soudain, le bien-être furtif.....Infini